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TABLE DES MATIÈRES.
et d’attrait, jusque dans les accidents qui les affectent, III, 2.
Projet (le) de bien vivre, V, 29.
Propos inutiles, qu’on tient trop souvent, V, 8.
Propre (le) d’un œil sain, X, 35 ; — (le) d’une âme raisonnable, XI, 1 ; — (le) de l’homme ; comment il y arrive, VII, 22 : — (le) de l’homme, défini, VIII, 26.
Propriétés de l’âme raisonnable, XI, 1.
Protagoras, de Platon, cité, VII, 63, N.
Provenance de toutes choses, IX, 39.
Providence (de la), découlent toutes choses, II, 3 ; — (existence d’une), ou existence des atomes, IV, 3 ; — (la) soumet à certaines lois la production des êtres, IX, 1 ; — (il y a, dans le monde, une) qu’on peut fléchir, XII, 14 ; — miséricordieuse ; croyance du Stoïcisme, au temps de Marc-Aurèle, et surtout croyance de Marc-Aurèle lui-même, XII, 14, N. ; — ne pas se plaindre d’elle pour les accidents extérieurs, XII, 23 ; — (accuser la), aberration que le Stoïcisme n’a jamais commise, XII, 24, N.
Prudent, signification de ce mot, X, 8.
Pseudo-Plutarque, cité sur la sentence d’Antisthéne, qu’il attribue à Alexandre, VII, 36, N.
Psychologie (la) moderne n’a rien à ajouter à l’analyse de l’âme par Marc-Aurèle, XI, 1, N.
Publius Annius Vérus, père de Marc-Aurèle et fils de M. Annius Vérus, I, 2, N.
Puissance de l’opinion fausse, VI, 57 ; — (la) modératrice fait subir au monde de périodiques révolutions, V, 13.
Pythagore, cité, par Marc-Aurèle comme orateur éloquent et philosophe vénérable, VI, 47 ; — père de Télaugès, VII, 76, N. ; — cité sur la manière dont il a compris le rôle de là philosophie, IX, 29, N.
Pythagoriciens (les) nous engagent à porter le matin les yeux au ciel ; et pourquoi ? XI, 27.

Q

Quades (chez les) sur les bords du Granoua, Marc-Aurèle a écrit le premier livre de ses Pensées, I, 17 ; — (les) occupaient une partie de la Hongrie, I, 17, N.
Qualités qu’on prisait dans le père de Marc-Aurèle, I, 2 ; — morales que nous pouvons tous acquérir, et pour lesquelles nous n’avons aucune excuse d’inaptitude et d’insuffisance, V, 5 ; — morales, à conserver toujours en nous, VI, 30 ; — de ceux qui vivent avec nous, et dont nous devons nous rappeler pour nous procurer un sérieux plaisir, VI, 48 ; — dont il faut nous embellir toujours, VII, 31 ; — qu’il faut examiner dans le caractère de Socrate, VII, 66 ; — auxquelles il ne faut pas renoncer sous le prétexte qu’on ne peut pas devenir savant, VII, 67.
Question (grande et éternelle) que le Christianisme et la philosophie se posent tous les jours sur la naissance et la mort, II, 12, N. : — (la grande) de la naissance et de la mort n’a guère été traitée que par les religions, IV,