Page:Persky - Tolstoï intime.djvu/289

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neurs ? Tu en es comblé ! La richesse ? Tu possèdes de grands biens. Une famille nombreuse ? Tu as le bonheur d’en avoir une. Mon vœu est donc que tous tes descendants te ressemblent. »

— À nos contemporains prêchant l’assassinat et la violence, ajouta le comte, je ne puis, à l’occasion du nouvel an, que présenter un souhait contraire : « Que vos descendants ne vous ressemblent pas ! Dieu les en garde ! »