Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 2e série, tome 46.djvu/391

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nous l’enseigne. Un bon cœur n’y a guère moins de peine, parce qu’il joint aisément, aux motifs des grâces qu’il fait à la satisfaction de sa conscience, les considérations de son amitié. Je reviens à ce qui concerne ce qui se passa en ce temps-là à l’égard de l’administration de mon diocèse.

Aussitôt que la cour eut appris que le chapitre l’avoit quittée, elle manda mes deux grands vicaires, aussi bien que M. Loisel, curé de Saint-Jean, chanoine de l’église de Paris, et M. Briet, chanoine, qui s’étoient signalés pour mes intérêts.