j’ai ajoutées à mes pages, par ci par là, comme autant de jalons indiquant la valeur de mes théories et la nature de mes identifications.
Pourquoi certaines gens se récrient-ils quand ils entendent parler de croyances, de mythes et de coutumes asiatiques, en Amérique ? Pourquoi tout le fracas qui s’est produit lorsqu’on a crié à l’exaltation, au parti pris, voire même au cléricalisme ? Qu’y a-t-il, en ce fait bien simple, de si prodigieux, de si invraisemblable, de si épouvantable pour leur esprit prévenu ou craintif ?
Voilà que, depuis longtemps, d’autres ont constaté qu’il existe dans l’Hindoustan, au Japon, au Groënland, dans l’Océanie, des observances, des traditions et des usages identiques à ceux des anciens, qu’ils aient été égyptiens ou scythes, phéniciens ou hébreux. Pourquoi donc serait-il impossible que les mêmes similitudes se produisissent en Amérique ?
La Polynésie semble avoir hérité de l’Égypte et de la Grèce les divinités Ra, Orus, Mauï, Pelée et autres dieux. Pourquoi donc tairai-je que, en Amérique, j’ai retrouvé Men, Moïse, Opas, Khons, Bel et Osiris ?
Plus que l’Océanie, le continent colombien n’est-il pas situé dans les meilleures conditions pour recevoir un afflux de populations et de croyances asiatiques ?
Soyons donc plus sages dans nos jugements, et ne rapetissons pas, aux dimensions de nos petits États, à