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légendes

tthi et « natρusttal’ » « je vais m’envoler », yénidhen ; pensait-elle ; kuρlu mais yéola le faîte taniltchush était obturé itta, vu que, naëttap illé. elle ne partit pas. Ti La perdrix ttsékwiii femme édeltsini, se fit, ttsékwii une femme nézun, belle, sni la, dit-on, ses thi-ρa cheveux l’an. abondants. Ttathé D’abord ti perdrix ρilé, elle était, ékhu puis duon maintenant ttsékwiii femme enli elle est sin[1]. devenue.

Ekhu Alors unldun ensuite elρanshekρé ils se marièrent lakhu. assurément. Ekhu Et eyer depuis ottsen lors daél’étρilyan ils se multiplièrent inttu, vu que, dènè beaucoup l’an d’hommes anadja ; il y eut. ékhu, Or, éyéné dènè, ces hommes, nuni ρadé c’est nous-mêmes aïtti qui sommes lakhu. assurément ; Ekhu car nuni nous dènè des hommes idli sommes lakhu. assurément. Eyi bélanρè. C’est la fin.

  1. Comparez avec la Femme du jour, mère des perdrix blanches, dans la première légende dindjié.