Page:Poésies nationales de la Révolution français, 1836.djvu/167

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Et si l’on connaît l’existence
Par-delà ce terme fatal ;
Si Dieu, contre toute apparence,
Me traduit à son tribunal,
Je ne craindrai point d’y paraître
Et de lui dire en ma faveur :
Jamais je ne t’ai, dans mon cœur,
Cru semblable au dieu d’aucun prêtre.


Par Piis.