Page:Poe - Contes inédits traduction William L. Hughes, Hetzel.djvu/41

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lence de la nuit ! — les doux soupirs que j’avais cessé d’entendre m’arrivèrent à travers la jalousie, et se transformèrent en une voix douce et familière, disant :

« Dors en paix ! car l’Esprit de l’Amour règne et gouverne, et en pressant sur ton cœur passionné celle qui est Ermengarde, tu es absous, pour des motifs qui te seront connus dans le ciel, des vœux faits à Éléonore. »