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Sois béni mille fois, toi qui, du sort injuste,
En me tendant la main, as réparé l’oubli,
Toi sans qui mon destin, privé d’égide auguste,
N’aurait jamais été rempli.

Soutien de la patrie et roi de la science,
Chacune à ton génie a dressé son autel :
La poésie aussi te salue et t’encense
Et te fait trois fois immortel.



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