Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/132

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sur l’autre rive, et qui sont recouverts de broussailles et de genévriers.

Henri regarda sa sœur :

— Je suis pourtant né ici comme toi, et jamais je n’ai entendu parler de cela.

— C’est un secret de famille. Mon père me l’a transmis en mourant. Tu étais trop jeune, toi.

Aux plus mauvais jours de 93, j’ai souvent songé à m’en servir, à la dernière extrémité.