Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/136

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dans le pays environnant, qu’il engageait sa parole de gentilhomme de faire grâce au braconnier et de lui donner cent écus d’or, en outre, s’il se voulait présenter devant lui.

On savait que la parole du marquis était sacrée.

Vingt-quatre heures après, le braconnier frappa hardiment à la porte des Roches.

Le marquis le reçut et lui dit :

— Je te fais grâce et je te vais donner les cent écus que j’ai promis, mais à une