Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/142

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lérol et les gens du château avaient écouté mademoiselle de Vernières avec étonnement.

Seul, le capitaine Victor Bernier était demeuré morne et sombre.

— Messieurs, mes amis, continua Diane, nous n’avons pas une minute à perdre. Il faut partir. De l’autre côté de l’Yonne nous serons sauvés ! Les forêts du Nivernais sont là pour nous protéger.

— Partons ! dit Cadenet. Mais où est le Boyau de la Loutre ?