Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/164

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semble que ce n’est pas… pour parler politique…

— Que je suis venue, n’est-ce pas ?

— J’allais vous le dire.

— Eh bien donc ! je suis venue seule.

— Mais… pourquoi ?

— Parce que Marion n’a pas voulu me suivre, cher comte…

— Ah ! soupira Barras, savez-vous, ma chère, que depuis ma fête de Grosbois… vous savez ?…