Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/169

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— Je dis il était, car il est mort.

— Ah ! fit Barras, avec un accent de joie égoïste et cruelle.

— Mon cher, dit froidement mademoiselle Lange, on triomphe presque toujours des vivants, jamais des morts. Un cœur qui est attaché à une tombe est un cœur imprenable !

— Mais, s’écria Barras avec emportement, quel était donc cet homme ?

— Vous l’avez connu.

— Moi ?