Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/180

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— Ah çà ! ma chère, dit-il, viendriez-vous, par hasard, me demander la grâce de quelqu’un ?

Mademoiselle Lange eut un éclat de rire.

— Non pas, dit-elle, ni Marion, ni moi, n’avons personne à sauver.

— Eh bien ! alors…

— Mais l’occasion peut se présenter…

— Trève d’énigmes ! Comment se nomme cet homme pour qui Marion…

— Cadenet ! mon cher.