Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/213

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— Et il commandait ?

— Pardienne.

— Eh bien ! continua mademoiselle Lange qui prit un air dégagé et imposa silence aux battements précipites de son cœur, ils ont été battus les royalistes ?

— Oh ! mais, non…

— Comment cela ?

— Le général a battu en retraite sans leur avoir fait un seul prisonnier. Ils se battent joliment bien, ces brigands-là !