Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/258

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— Je le crois.

— Et… ces gens…

— Je vous les nommerai en temps et lieu.

— Vous ?

— Mon cher général, dit mademoiselle Lange avec son plus séduisant sourire, mettez-vous bien ceci dans l’esprit : Barras fait ce que je veux.

Solérol s’inclina.

— Par conséquent, vous ferez, vous, ce que je voudrai.