Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/303

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En entrant la veille dans le château, elle avait jeté un regard rapide autour d’elle et remarqué que sa chambre donnait sur un long corridor dans lequel s’ouvraient plusieurs portes.

Mademoiselle Lange se leva dans l’obscurité, guidée par le dernier rayonnement d’une bûche qui achevait de se consumer dans la cheminée, et elle se glissa jusqu’à la porte de sa chambre, qu’elle ouvrit avec des précautions infinies.