Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/305

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— Qui est là ?

Mademoiselle Lange mit la main sur la clef, demeurée dehors, et ouvrit la porte.

— Chut ! fit-elle en franchissant le seuil de cette chambre, plongée comme la sienne dans les ténèbres, c’est moi… une amie.

La voix de la jeune femme était sympathique et douce.

Bernier, car c’était lui, se tut et attendit. Alors, mademoiselle Lange poussa la porte sur elle et ajouta :

— Ne faites pas de bruit, je suis une