Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/83

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douce jusqu’à cette roche taillée à pic sur laquelle était bâti le manoir au bord de l’Yonne.

Le capitaine et madame Solérol qui avaient pris le sentier qui se dirigeait au midi, vers les Roches, à travers les taillis et les futaies, allaient donc rebrousser chemin et prendre pour étoile polaire cette lueur rougeâtre qui planait au-dessus du bois et luttait maintenant d’éclat avec les premiers feux de l’aurore, quand tous deux s’arrêtèrent brusquement.