Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 1.djvu/330

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COR
Corre (le), sr de Keruzaré, par. de Carantec.

Réf. et montres de 1426 à 1481, par. de Carantec, év. de Léon.

D'or à trois trèfles d'azur.

Corre (le) sr de Kerbuzic, par. de Locquémeau, év. de Tréguier.

De sable fretté d'or, qui est Kerbusic ; au chef de gueules, chargé d'un cerf d'or. (G. le B.)

Corre (le).

Réf. de 1427 à 1463, par. de Bourbriac, év. de Tréguier.

D'azur à une chauve-souris éployée d'or en pal, l'estomac percé de gueules. Devise : Nocte vigilat.

Corre (le), sr de Kerlavarec, par. de Plougasnou, — de Kerouzien, — de Coetcren, — du Plessis.

Réf. et montres de 1481 à 1543, par. de Plougasnou, év. de Tréguier. D'argent au chevron de sable, accomp. de trois quintefeuilles de même.

Jean, anobli avant 1U8i ; un gouverneur du château du Taureau en 1621.

Corre (le), sr de Penarpalud, par. de Plonivel, — de Kerdaniel, par. de Plougastel-Saint-Germain.

Réf. et montres de 1442 à 1562, dites par. et par. de Landudec, év. de Cornouaille.

Yvon, anobli par lettres du prince en 1Ui0 ; Pierre, abbé de Saint-Maurice de Carnoët en 1520.

Guillaume, sr de Lanriou, procureur du Roi à Châteauneuf-du-Faou, appelé a l'arrière ban de Cornouaille en 1636, débouté à la réformation de 1688. Ce nom est encore mentionné aux réformations et montres de 14U & 1562, paroisses de Coray et Trégourez, évêché de Cornouaille.

Corre (le), sr de Kergroas.

D'or au cœur de gueules, surmonté d'un croissant d'azur (Arm. 1696).

Un contrôleur des deniers d'octroi et patrimoniaux de Saint-Pol-de-Léon en 1696.

Correc (de), voyez f Ognets (des).
Corret, sr de Kerbauffrel, év. de Cornouaille, ress. de Carhaix.

D'argent à la hure de sanglier de sable, couronnée d'or ; aliàs : écartelé de la Tour d'Auvergne, chargé d'une barre de gueules.

Adèle, eut au xvne siècle d'Emmanuel-Théodose de la Tour d'Auvergne, duc de Bouillon, vicomte de Turenne, un fils naturel père de : Théophile-Malo, mousquetaire du Roi en 1767 puis capitaine au régiment d'Angoumois (infanterie) en 1782, surnommé le premier grenadier de France ; autorisé en 1779 à porter les nom et armes de la Tour d'Auvergne, tué en 1800 a Oberhausen, d'un coup de lance dans le cœur.