Page:Potvin - L'appel de la terre, 1919.djvu/186

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à la fin d’un rosaire est accordée quand même dans ce cas de force majeure.

Et Jeanne Thérien, agenouillée près du poêle qui, fier de ses trois bûches de bouleau, ronronne triomphalement, achève son troisième chapelet…

L’une des bûches, s’affaisse tout à coup dans la braise rouge avec un crépitement qui fait jaillir des flammes par les petites portes du foyer du poêle à trois ponts…

« Jésus… faites qu’il revienne !… »