Page:Pouchkine - Œuvres complètes, tome 2 (extrait), 1977.djvu/13

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À son amant Eglé sans résistance
Avait cédé — mais lui pâle et perclus
Se déménait — enfin n’en pouvant plus
Tout essoufflé tira… sa révérance, —
« Monsieur, —Eglé d’un ton plein d’arrogance,
Parlez, Monsieur : pourquoi donc mon aspect
Vous glace-t-il ? m’en direz vous la cause ?
Est-ce dégoût ? » — Mon dieu, c’est autre chose.—
« Excès d’amour ? » — Non, excès de respect.