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Page:Quarré - Poésies d’Antoinette Quarré, 1843.djvu/116

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CAPRICE.


Je demande au soleil, à la nuit, aux nuages,
De sublimes pensers et de belles images ;
Mais la nue et la brise, et la nuit et le jour,
Sont remplis de toi seul et me parlent d’amour.


Voilà pourquoi je veux, désormais insensible,
M’armer d’un regard fier et d’un cœur inflexible ;
Ne crois pas m’ébranler, tu n’y parviendrais pas.
Mais que dis-je ! il accourt… et je lui tends les bras.