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Page:Quarré - Poésies d’Antoinette Quarré, 1843.djvu/317

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AUX GIROFLÉES.

Triste, viendra parfois bercer ton front rêveur,
Et, puisque tu l’aimais d’un amour sympathique,
Exhaler sur ton luth tendre et mélancolique
De la fleur qui n’est plus la fugitive odeur.