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la laide, louche mais charmante madame Wordsworth, Coleridge, le rival de Quincey dans le culte de l’opium, avec son regard assoupi où brillait une pointe de folie. Avec cela, les Suspiria de profundis, la Diligence et quelques contes, on aurait la fleur de l’œuvre de Quincey[1].

Albert Savine.

P. S. — Ce m’est un devoir de remercier ici M. V. Descreux de l’aide qu’il m’a apportée, pour ce travail, de sa parfaite connaissance de la langue élégante mais un peu chantournée et spéciale de Quincey.



  1. Je signale aux curieux les traductions parues de Jeanne d’Arc et de l’Assassinat considéré comme un art.