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VOU
plus infaillible pour en adoucir les rigueurs. Il n’y a de douleur que dans la privation forcée, dit M. A. Guiraud, et toutes les fois que la volonté de l’homme est d’accord avec son destin, le sacrifice devient une consolation, parce que la conscience y trouve une sorte d’acquit pour le passé et une espérance presque certaine pour l’avenir.
Fin.