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TABLE.

Chambre obscure ou chambre noire. Son origine, 901. Description d’une chambre obscure portative, 902.

Champ d’une lunette, 881.

Charge par cascade, ou manière dont plusieurs bouteilles de Leyde se chargent les unes les autres, par une suite de la communication qu’elles ont entre elles, 435.

Chimie. Objet de cette science, ij. Ses points de contact avec la physique, iij.

Choc en retour, ou commotion que l’on ressent quelquefois à une distance plus ou moins sensible de l’endroit où se fait une décharge électrique, 448. Circonstances dans lesquelles cet effet a lieu par l’action de la foudre, 449.

Cobalt. Il paroit doué par lui-même des propriétés magnétiques, 610.

Combustion. Manière dont les anciens physiciens l’expliquoient, 168. Sa véritable cause, 169.

Commotion électrique par la bouteille de Leyde, 426. — Par la pile de Volta, 497 et 498. En quoi l’une diffère de l’autre, 505. Voyez Électricité.

Conducteur d’une machine électrique, 383.

Conducteurs (corps) de l’électricité, 380.

Conducteurs humides employés dans la pile de Volta, 482.

Congélation de l’eau. Augmentation de volume que subit l’eau lorsqu’elle approche du terme de la congélation, 213. Détermination du degré auquel répond son maximum de densité, 214. Opinions sur la cause de la dilatation de l’eau congelée, 218 et 219. Effets de la force expansive de l’eau congelée, 220 et suiv.

Contact immédiat. N’existe pas entre les molécules des corps, 8.

Cor de chasse. Ce qui produit la différence des tons dans cet instrument, 368.

Corde sonore. Voyez Sons comparés.

Corps conducteurs et non conducteurs. Voyez Électricité.

Couleurs considérées dans la lumière. Expériences qui prouvent la différente réfrangibilité des rayons réfléchis par les corps, 677. Autres expériences qui prouvent que la lumière est composée d’une infinité de rayons différemment réfrangibles, relatifs à une gradation de nuances de couleurs que l’on peut rapporter à sept espèces, 678-684. Nouvelle expérience confirmative des précédentes, à l’aide de la lumière en partie réfléchie, et en partie réfractée, au point d’incidence sur la base intérieure du prisme, 685. Dans quel sens on doit entendre les expressions de rayons rouges, bleus, violets, etc., 686. Détermination du rapport entre les sinus d’incidence et de réfraction des rayons qui donnent les limites des sept couleurs principales, 689. Analogie entre la suite des sinus de réfraction relatifs à ces limites, et celle des nombres qui représentent notre échelle musicale dans le mode mineur, ibid. L’assemblage de toutes les cou-