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tiers livre, t. ii, p. 232-244.

Page 232, l. 18 : Comme atteſte Ammianus. Liv. XXII.

Page 235, l. 14 : Pantagruel les tenait à la guorge. Voyez ci-dessus, p. 157-160, la note sur la p. 213.*

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Page 236, l. 7 : Par la relation du Prophète. — Les Juges, c. 9.

Page 240, l. 23 : Le reſte empliſſans d’eau, comme font les Limoſins à belz eſclotz. « Aux beaux sabots, » dit Éloi Johanneau, qui évidemment croit voir là une parodie de cette expression de l’Iliade : « les Achaiens aux belles cnémides. » Burgaud des Marets combat avec raison cette explication et dit fort justement que les charretiers « remplissaient d’eau à pleins sabots le vide qu’ils avaient fait, » Cette locution est analogue à celle de « mordre à belles dents, » qui est encore en usage.

Page 241, l. 3 : Cela eſt eſcript. — Pline, XVI, 35.

L. 30 : Aſbeſton. Voyez ci-dessus, p. 81, la note sur la l. 28 de la p. 23.*

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L. 31 : Le climat Dia Cyenes. — Dia est la préposition grecque διά « à travers. »

Page 242, l. 23 : Que Alexander Cornelius nommoit Eonem. « Alexander Cornelius arborem eonem appellavit, ex qua facta esset Argo, similem robore viscum ferenti, quæ nec aqua, nec igni posset corrumpi, sicut nec viscum. » (Pline, XIII, 22). Eonem est l’accusatif d’eone.

Page 244, l. 1 : Congneut Cæſar l’admirable nature de ce boys. Voyez Vitruve, II, 9.