Page:Raoul - Trois satiriques latins, vol 1 Juvénal, 1842.djvu/275

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Ce sentier peu battu qui mène au bien suprême,
Chacun, quand il le veut, le trouve par lui-même ;
La vertu nous l’indique : elle seule ici bas
Vers ce but glorieux peut diriger nos pas.
Tu n’es rien, ô Fortune ! où règne la sagesse,
Et c’est nous, oui nous seuls, qui te faisons déesse.