Page:Raynal - Histoire philosophique et politique des établissemens et du commerce des Européens dans les deux Indes, v1.djvu/544

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a auſſi en Hollande un conſeil des Indes : commens il eſt composé ; comment s’y règlent les affaires. 448. Cauſes de la proſpérité de la compagnie Hollandoiſe. 450. Objets les plus conſidérables de ſon commerce. 452. La révocation de l’édit de Nantes eſt utile aux Hollandois. 455. Chute de la compagnie ; ſes cauſes. Tableau des premiers fonds de cette compagnie ; leur produit année commune. Formation des actions. 456. Révolutions qu’elles éprouvent. Ibid.. État du capital de la compagnie en 1751. 457. Doutes qui peuvent naître de l’ignorance où ſont les intéreſſés de l’état des affaires. 458. Cauſes de la décadence de la compagnie, 460. Troubles qui s’élèvent dans toutes leurs poſſeſſions. Ibid.. Malverſations. 463. Diſſenſions parmi les adminiſtrateurs. 467. Les états-généraux ne rempliſſent aucun des devoirs dont ils s’étoient chargés. 468. Le gouvernement de la compagnie eſt trop compliqué. 470. Remèdes à y apporter. Ibid.. Les établiſſemens Hollandois ſont trop multipliés dans l’Inde. 472. Il faut abandonner aux particuliers le commerce d’Inde en Inde. 475. L’idée reçue que les épiceries naiſſent dans quelque endroit inconnu, & qui eſt tombée dans l’oubli, peut renaître & donner lieu à des découvertes capables de faire tomber le commerce de la compagnie. Fait qui a donné lieu à ce ſoupçon. 476. Les Hollandois qui poſſédoient ſeuls les muſcadiers & des girofliers aux Moluques, ſont menacés, depuis que les François en ont tranſplanté dans leurs colonies, de perdre entièrement cette branche de commerce. 480. La manière dont la compagnie compoſe ſa marine peut la faire tomber. 481. Défauts de la formation de leurs troupes de terre. 482. Manière vicieuſe dont elle ſe procure des matelots. 483. Dangers qui la menacent. 486. Poſſibilité pour la France de conquérir les Moluques. Moyens à y employer : manière de s’y maintenir. 487. Moyens que l’Angleterre pourroit employer pour le même objet. 491. Avantages que la république tire de la compagnie. Impoſitions établies ſur les actions. 494. Les dettes publiques ont affoibli la république. Moyens de la relever. Cauſes de ſon ancienne ſplendeur. 497, 498.