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es, qui va jusqu’en 1270 ; tas Tome XVIII.

leste. Du Cange a suivi, comme b plus comc* l’édilioo de Lyon, qu’il a collâtioooée a»«c manuscrit du Roi 2096 ou 9644, le muI qi existât alors à la Bibliothèque royale, car lequ paroit avoir été faite l’édition de Lyon, et doi nom avons fait usage. Dans ce manuscrit en pa chemin, de la 6n du un.* siècle, le vieux langaj semble avoir été mieux conservé* ; mais le copisii par distraction ou par trop de précipitation omis non :seulement des mota essentiels, mais d< phrases entières que nous trouvons dans deti autres manuscrits de la même bibliothèque, doi nous allons parler.

Dans l’up de ces manuscrits en parchemin coté 7974s et à peu prés de la même époqi que le n.* 2096, le langage a été un peu rajeun mais le fond «st le même. L’autre, sur papi< de chiffe, inscrit au supplément dei catafogw sous le n.* 207, e^t d’une écriture plus modérai du xiv.* ou xv.* siècle le texte est plus confom au premier manuscrit 2096 qu’au second ; ma l’orthographe est entièrement différente. Il a ce de particulier, qu’on y trouve une continuatio de l’histoire de Ville-Hardouin jusqu’à l’annt 1208, inconnue à du Cange, d’après les mt moires, à ce qu’on dit, d’un certain Henri «I Valenciennes.

A la suite de l’histoire de Ville Hardouin not plaçons sept relations ou épitres encycliques écrites par les Empereurs de Constantinopl Baudouin et Henri, et autres chefs de l’arme Française, dans lesquelles ils rendent compte d< résultats de leur expédition, afin d’obtenir d< peuples occidentaux des secours en guerriers en clercs, dont ils avoient besoin, soit pour cou server leur conquête, soit pour former le clerg Grec dans la pratique des rites de l’église Latin* Ces morceaux étoient épars dans plusieurs vc lumes ; nous les avons réuni», eh marquant 1< variantes qui existent dans Us différentes édition qui en ont été faites.

XIX. Le manuscrit 5440 de la Bibliothéqu royalecon tient lesAnnales de l’abbayed’Anchin a diocèse d’ Arras,depuis l’année ! 1 49jûsqu’en 1 20 1 Aubert le Mire est le premier qui les ait rendue publiques, sur le manuscrit même d’Anchin, la suite des continuateurs de la chronique d Sigebert, dans une collection imprimée à An ver l’an 1608, in-4. mais il n’en a publié qu’u u fragment depuis 1163, où finit l’anonyme’d’AI flighetn, jusqu’en 1201, avec un supplémeii très-court, depuis cette dernière année jusque 1225, tiré du même manuscrit d’Anchin, et n contenant que des choses relatives à ce monastère Dans ce volume et au tome XIII, page 278 nous avons confronté l’édition de le Mire ave le manuscrit du Roi, qui, en certains endroita nous a donné un texte plus développé. Le Mir a de plus imprimé en italique, tous chaque année d’autres faitsinsérésdans d’autres manuscrits qu’i cite. Ces interpolations n’étant ni dans le ma nuscrit du Roi ni dans celui d’Anchin nou les avoos supprimées. On trouve dans I manuscrit du Roi une autre continuation de ce Annales, qui va jusqu’en 1270 ; main elle est i

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adkibuitmu. Cangiut Lugdvnehtem teeuttu l est ediliontm, quam ut accmratiorem nid». i ret, utut ett au. codice reyto 2096 oel 9644, 1 unico hmc in ea bibliothëca, quem -deteript nue videtUur Luodunentet tvppgraphi, • eoymnoi toi tumu. Coder est membrannu, t sub fiitem taculi xui eaoaratut, qui oetut loquendi genut accurattùs centendut est rei prœtenUute. Al amatmetuù, tint ex otcilani Ua,t*w,utpleTumquefU,ea)Himiaproperai tione, non tolitm ntxettaria verba, ted artit culot etiant intégra* pratermitit, qua rettituitmu eao dmbus «/tu ejutdem bibliotkecm codicibut, de quibut amc dieendtm. Aller eorum memèraneus, ejutdem fermé s aetatit atque carfe»2096, eatalogo intcriptut n.» 7974, paulo recentioribut aiteratus est r locutionibut, ted non in rerum tubtlanlm. i Chartaceutailer,insupplemmtocalalogorum n.* 207 ùucriptut, sttcuto ut vel x v calamo s ewaratut, codicem 2096 accuraliiu reprai tentant, discrepalin orthographia. Vcrùm d i habet pro caterit, quùd continuatiohem i hittoria Gaufridi conlinet tuque ad annum i i 208, Cartffio incompertam, ex commrntã riit, ut dicitur, cujutdam Hertrici Valeni cenentit depromplam.

i Gaufridi hittoria tubjicimut relation** «eu epistolat encyclicat teptem Balduini et s » HenrieiConttantinopolitlmperatorum,tiec- K î non et atiorum exercitût Francorum /irinci- n i pwn, quibut res à se gestat in acquirendo s Graxorunt imperio populit occidentalibut t tignificant, bellalorum et clericorum homĩ num auxilia flagitantet, tum ad turndum et perpetuandum bello partum imperium, tum ad informandos juxta Latinorum ri tut €r<ẽ corum moret. Dispersas pi un bits in Itbrit i eat epitloiat conjunclim quasi sub uno obi (utu s ta tut mus, appotilit in notit tingularum edilionum ditcrepantiit.

> XIX. Manutcriptut codex 5V+0 Bibliol thecaregia conlinet AnnaletAquicinctinimo- ci natleriidioecetit Alrebalentit, ab anno 1 1 49 i ad annum utquè 1201 Aubcrtus Mirant qui primut eos vulgavil px ms. codice rjutdem monatterii inter ront mua tores rhronici Sigeberli Gemblacentit, Antverpia, 1(108, in-4’, fragmenlum tolummodo ex eis edidit, abanno tcilicet 1 1 03, ubi desinil A uclarium Affligemiente, usque ad annum I "20 1 addildex eodem codice de rebut iptius monatteriibrevi appendice quct ad annumVl’lb extenditur. Sot autem in hoc el tomo XIII, patf. 278, editionem Mirœi contulimut cum mt. codice regio, et loca qucedam in edttit minùtamplaaul drcurtata resliluimut. Pratlerça interpolât innés non paitcat alterato ch^ractere à Mirœo intrrlat, quœ nec in eodem codice, nec ira Aquicinctensihabentur, penitùt expungimus.Èxslal tamen in eodem codice regio Annal tum tttorum continuatio, quœ ab anno 1 20 1 extenditur usque ad i 270, tedea parùm acturata et in ckronologiam perpétua peccant, à qua vulganda centuimut e