Page:Regle de saint Benoit 1689 - Rusand, 1824.djvu/35

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charistie, on doit convenir qu’on ne sait pas trop bien ce que la Règle veut dire ici. Car quel rapport entre cette communion et le déjeuner du lecteur ? et quelle conséquence de l’un à l’autre ? C’est, répondent quelques-uns, afin qu’il ne soit pas exposé à rejeter ou cracher, pendant la lecture, quelque chose des espèces sacramentelles qu’il a reçues, Mais peut-être que, si l’on voulait bien faire attention qu’il y avait au moins près d’une heure qu’il les avait reçues, puisque les fêtes et dimanches, qui sont les jours de communion, la messe était achevée vers les onze heures, et que le lecteur ne prenait son verre de vin que dans le moment qu’on se mettait à table, c’est-à-dire