Page:Regle de saint Benoit 1689 - Rusand, 1824.djvu/37

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Sexte, dont le chant néanmoins est bien plus capable d’exciter le crachement que l’on craint, que ne peut faire la lecture de table. Enfin, de quel usage sera donc l’ablution que l’Eglise ordonne immédiatement après la communion ? Certainement voilà bien de l’embarras : et le moyen d’en sortir, si on n’a recours à quelque autre explication ?

Ces termes post missas et communionem, que l’on lit au commencement du même chapitre, ne manquent point non plus de difficulté. Car si l’on en croit le Mont-Cassin, (et pourquoi ne l’en croirait-on pas dans les usages dont il a conservé une tradition constante et uniforme ?) cet endroit se doit expliquer de l’office de Sexte, après