Page:Renan - Lettres du séminaire, 1838-1846.djvu/167

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Vous savez que vous n’avez pas à vous gêner avec les frais de voyage des vacances ; la bonne Henriette m’a dit à son départ qu’elle aurait soin pour cette époque de me faire passer un billet pour toucher les fonds nécessaires. Ainsi soyez sans crainte à cet égard. La chère Henriette a pourvu à tout. Elle m’a aussi laissé tout l’argent nécessaire jusqu’à la fin de l’année. Quelle sœur ! Mon Dieu, je vais prier pour elle !