281. 16 8b. Fammes-maîtres-des-requêtes.
282. 17 8b M. III partie Prévention nationale.
283. 18 8b. Jarretiéristes, xxxve volume.
284. 19 8b. Lieutenante générale.
285. 21 8b. Fin Présidente.
286. 22 8b. Famme-mise-à-la-raison.
287. 23 8b. Grêlée inveni similem Londotinæ. (Je rencontre cette grêlée, qui ressemble à Mlle Londo[1]….) C’est presque une avanture que cette rencontre : depuis longtemps, je remarquais une grêlée fort aimable, qui avait un bel œil, et un sourcil plus bel encore.
Le soir de ce jour-ci, rue de la Harpe, je la vis ave : surprise parler aux filles publiques. Elle était en joli casaquin de soie, à bouffettes : elle était charmante. Je fus curieus de savoir pourquoi elle parlait aux filles publiques. Je la suivis et la joignis à sa porte. Je la saluai. Elle me répondit en riant, et je montai avec elle. Parvenue dans sa chambre, elle me dit : « Quelle opinion alez-vous avoir de moi, de vous laisser monter avec moi ? — Je crois, lui répondis-je, que vous avez eu des malheurs et que vous n’êtes plus dans la posicion où je vous ai connue, dans la rue Galande[2], chés le pâtissier, au second. »
À ces mots, Mme Maillard (c’est son nom),
- ↑ Victoire Londo (Odnol, dans le Calendrier), jolie charcutière de la rue Saint-Victor, muse qui inspira Restif dans son Nouvel Abeilard. Il nourrissait pour elle une vive passion. La grêlée qui lui ressemblait avait reçu le surnom de fausse Londo. (V. la note 2 de la page 193.)
- ↑ Entre la place Maubert et la rue Saint-Jacques. Ouverte, en 1202, sur le clos Mauvoisin, qui faisait partie de la seigneurie de Garlande, son nom n’est qu’une corruption de celui-ci.