Page:Restif de la Bretonne - Mes inscripcions, éd. Cottin, 1889.djvu/361

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ment. Lu C 11 volume Parisiennes et fin de la Mère sévère ; 94 Séparée ; sem ej. videns la belle Maris à la jolie jambe[1] ; j’étais dans l’alée vis-à-vis, et, deux heures après, sur le p. de Marion qui alait chés Mme Laruelle ; puis, le soir, dans mon lit, elle me parlant.

785. 24 jul. Mal de gorge affreux : matin, 95, 96, 97, 98 Séparée. Lettre de Mesnager avec 477 livres. Le soir, donné deux listes, l’une à M. de Toustain, l’autre à Jobart, pour mes ouvrages ; porté B iv volume au censeur.

786. 25 jul. Hier, Colson n’avait pas le billet à payer, j’ai gardé les 477 livres de Mesnager. Je lui écris, ce matin, que j’ai donné 444, et que je ne redois que 266, au lieu de 410 qu’il marque ; 99, 100, 101, 102, 103. Après dîner, chés M. Toustain, B iv volume Françaises. Le monstre encore à l’hôtel Torpanne.

787. 26 jul. Matin, 103 à demi, 104, 105, Séparée ; enfin le petit texte xix volume. On corrige M id. 2de C Parisiennes. Vu l’abbé Roi. J’ai mon prospectus du journal Contradicteur. Tous ces jours-ci, je suis en fureur contre Legrand, secrétaire de M. Lepelletier, prévôt des Marchands, qui, loin d’empêcher les infa-

  1. Une dame Mâris tenait à Auxerre un bal public que Restif fréquentait au temps de son apprentissage ; il dit, en parlant d’une autre personne : « Elle l’avait (la jambe) effectivement si parfaite, que je n’en ai vu une pareille qu’à Mme Parangon et à la cadette Mâris de la rue de la Vieille-Bouclerie. » (Monsieur Nicolas, t. VI, p. 123.) Il est question dans le Calendrier, p. 94, d’une Mâris, limonadière, et, dans Monsieur Nicolas, t. XI, p. 115, d’une Mâris qui demeurait au carrefour Dauphine et « dont l’air, la démarche, etc., étaient ce qu’on peut voir de plus voluptueux ».