Non vu de Rosières, ni Granger. Le soir, la femme Has m’a parlé du monstre Auge, qui déclame ; et mercredi, Barthe m’a dit qu’il menace de m’assassiner[1]. Jeudi 7, me sont arrivées deux lettres : une de Courgis, pour ma petite succession, et une de Montlinot, pour faire accoucher secrettement sa servante à Paris. Je me propose de lui écrire avec force contre le monstre Augé, ainsi qu’à Courgis.
833. 9 7bre Matin, 11 et 12 Epiménide ;
composé un peu à l’imprimerie. Chagrin ; 13,
Epiménide ; tour de l’Ile, où les poliçons de la
rue Poultier ont crié : Griffon ! La grosse, rue
Pierre-Sarrasin. Le soir, la Petit m’a raconté
du monstre Auge qui l’avait suivie, mais elle
me trompe : elle lui a parlé. Suggéré à la Biset de parler aux parents.
834. 10 7bre Matin, 14, 15, 16 Epiménide.
Transport de colère contre le monstre, dans
mon lit ; été chés de Rosières : il sait la
Femme infidelle. Lettre de Toustain qui demande
une collection de Contemporaines, et fait compléter Femme infidelle. Dîner copieux chés
Guillot ; était un cordelier ; été, en chantant, chés Granger, non trouvé : été, à 9 heures,
chés l’abbé Roi.
835. 11 7b - Matin, 17 Epiménide, 18, 19 ;
- ↑ Il n’en fit rien, mais tenta, le 30 juin 1793, d’assassiner sa belle-mère ; d’après M. Paul Lacroix, il aurait été arrêté et condamné à mort