Page:Restif de la Bretonne - Mes inscripcions, éd. Cottin, 1889.djvu/409

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matin, E iii volume Parisiennes ; à l’imprimerie, corrigé la fin de G Drame. Arrangé les livres pour Lacoste. Cemmencé le Hibou spectateur[1] à 7 heures du soir. Demi-tour occidental à 9 heures.

936. 23 Xb. Matin, levé, commencé la Vaporeuse[2] ; corrigé à l’imprimerie jusqu’à 87 drame.

937. 24 Xb. Continué la Vaporeuse ; trouvé le titre, les Mille et une Nuits françaises ; quart occidental de tour de l’Ile à 9 heures ; corrigé à l’imprimerie jusqu’à 97. Crainte d’une double descente.

938. 25 Xb. Anniversaire Parisiensis inceptæ ; fini les 19 et 20 ; matin, lu l’Épiménide ; vi nuit qui coupe. Le soir, lut jusqu’à viii.

939. 26 Xb. La nuit, changé le titre, en Mille et une Aurores ; matin, relu ce que j’ai fait, et Épiménide à Athènes. Le soir, Épiménide à Thèbes, ix et x Aurores. Dîné chés Guillot. Agnès et Marianne aux Italiens, par Mercier, avec Madame Guillot. Jenneval, Feodor.

930. (sic) 27 Xb. Matin, par Agnès, reçu les 120 de La Coste de Toulart, pour mes ouvrages vendus ; corrigé deux autres pages à l’imprimerie ; x, xi, xii Aurores, porté les Françaises à l’abbé Roi ; vu, dans la Gazette de Leyde que l’Empereur va réaliser mon Pornographe[3].

  1. On va voir que ce titre fut changé en Mille et une Nuits françaises, puis en Mille et une Aurores, avant de devenir définitivement les Nuits de Paris.
  2. Titre de la seconde Nuit. La Vaporeuse n’est autre que Mme de M*** (la marquise de Montalembert. Voir la note 2 de la page 261).
  3. Notre auteur paraît avoir été victime d’une mystifica-