Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/46

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quelque douleur, adoucie par la pommade : « Quand ma sœur et moi nous vous l’avons vu tant de fois mettre ainsi à ma mère, sur le pied de votre lit, vous criiez de plaisir ! N’allez pas en faire autant ! Vitnègre peut revenir. » Je lui promis le silence, telles délices que j’éprouvasse ! J’enconnais. Ma belle faisait de petits mouvements de contraction de conin. Jamais satin ne fut aussi doux que l’intérieur de ce conin céleste ; conin encore imberbe n’est pas plus étroit ! « Ah ! si ton gueux avait connu le prix de ton divin con, il t’aurait défoncée, eusses-tu dû en périr ! — Non, comme il l’a trop gros, il craignait de m’avachir. Il se branle, ou me fait le branler, en me tenant le poil, ou une fesse, et décharge… en… blasphémant. » Elle se contracta, et déchargea. Je partis alors délicieusement, en me récriant, malgré ma promesse : « Remue du croupion, ne cessais-je de dire, remue du conin, mon ange ! Bon… bon… encore… encore !… » Et elle se contractait, en redéchargeant, au point que le fond de son con me pinçait, et me suçait le bout du vit !… Je déchargeai trois fois sans déconner, et elle, peut être dix fois. Ce que je sentais à ses trémoussements convulsifs. Enfin, elle se pâma… Je déconnai, dès qu’elle cessa d’émettre. Elle se lava aussitôt, craignant que Vitnègre, en arrivant,