Page:Retté - L’Archipel en fleurs, 1895.djvu/96

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O Maître envole-toi vers le profond des cieux
Où les maîtres maudits et divins te réclament,
Pénètre dans la gloire ineffable qu’acclament
Les accents triomphaux des aigles radieux.

Nous avons épandu pour toi dans la lumière
Qui parait d’or léger la colline dernière,
Des roses, des lilas, des lauriers immortels…
Et les Forts et les Dieux souriaient fraternels.