Page:Reverdy - Etoiles peintes.djvu/24

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Un nuage de suie se gonfle, avalanche de coton sans eau, la maison se gonfle aussi, la poitrine, les arbres se gonflent et la tête est perdue.

La peau — sous les tiges de feu — ruisselle — et l’eau s’écarte de la masse d’huile qui glisse, qui joue — les gonds de la plus grande porte qui tourne. Le ciel fendu — le fil descend — l’éclair. Le monde à sa lueur est à peine entrevu.