Cette page n’a pas encore été corrigée
une mèche en son milieu ; à l’autre extrémité on doit fixer un cylindre en bois, aminci dans la partie centrale, de manière à pouvoir le tourner par la poignée, soit avec des barres,[1] soit avec les mains.
Le cylindre doit également être muni d’un autre pivot, tournant dans une crapaudine poussée par une barre, qui accompagne toujours la mèche qui fait le trou.
- ↑ Le texte grec porte « astérisques » (asteriskoi). Héron de Constantinople (chapitre VII, page 221 du texte du Wescher et figure LXXXVIII, p. 222) que nous reproduisons ci-contre), dit : S’il (le cylindre) reçoit, à la manière de treuil de puits, des petites barres le traversant en croix par le milieu, que quelques uns appellent, à cause de la forme de la figure, des astérisques… Cette disposition était identique à celle de nos cabestans, ou de nos treuils de haquet.