Page:Revue des études grecques, Tome 3, 1890.djvu/335

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Quand le moment favorable est venu, on lâche les cordages, les poutres tombent sur le mur, ayant des planches très rapprochées de la tour.[1] Pour rendre ce passage tout à fait facile, on place des espèces de nattes, percées de trous, et munies de cordes formées de petits branchages et ayant la chaîne en corde ………………[2] cela doit nécessairement être ainsi, afin que les nattes, étant sans liaison entre elles, ne tombent pas en dehors dans le mouvement, et qu’étant réunies, en se déroulant elles remplissent le pont, et qu’on puisse facilement les retirer s’il est nécessaire.

  1. Formant plancher dans la partie en saillie des moises supérieures.
  2. Ces nattes ont, comme texture, une certaine analogie avec les stores en bois employés de nos jours. Il existe ici dans les manuscrits grecs une lacune, qui semble peu importante.