Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/404

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
398
REVUE DES DEUX MONDES.

d’infini, de renouvelable que les joies du cœur et les extases de l’intelligence.

L’école littéraire dont M. Hugo est le chef, a donné de nouvelles cordes à la lyre, l’instrument n’attend plus qu’un nouveau Mozart pour chanter d’ineffables mélodies.


Gustave Planche.