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la chanson des gueux

Dans ce trou, lentement, comme dans un hamac,
Tu te couches, les bras croisés sur l’estomac,
Les jambes en compas, la figure couverte
De ta casquette ; et là, barbe au vent, bouche ouverte,
Dans ce coin de nature où tu te sens chez toi,
Tu goûtes le bonheur de n’avoir point de toit.