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les caresses
Ses grands yeux sont brouillés comme un ciel orageux.
Orgueilleuse, méchante et folle, elle a pour jeux
De tuer les oiseaux et d’arracher les feuilles.
Ô mauvaise saison, semeuse de remords,
Te voilà donc ! Bientôt, pour peu que tu le veuilles,
Tous mes bois seront nus et tous mes oiseaux morts.