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MES PARADIS

L’appel des cuivres, les taïauts des rabatteurs,
Les jurons, les vents chauds pleins de chaudes senteurs,
Jusqu’à temps que le cerf, dont l’œil sanglant s’effare,
Tombe, tandis qu’enfin sonne à toute fanfare,
Pour servir la curée à l’âme comme au corps.
L’ululant hallali que clangorent les cors.