Page:Rictus - Le Cœur populaire, 1914.djvu/115

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Ah ! la vieill’ carcasse,
ah ! le vieux carcan !
Comme y ressautait
son vieux Palpitant.

Riboule des châsses
la Vieille râlant
et pis… c’est gagné :
la v’là qui s’ détend.

Lardé les puciers
faussé les meublants,
riflé ses talbins
et ses frétillants.

Vrai, moi que j’ f’rais pas
d’tort à eun’ volaille,
c’était du travail
pour un débutant.