Page:Rictus - Le Cœur populaire, 1914.djvu/164

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— « Assez ! Chierie ! Dégueulando !
Tu vas fair’ pleuvoir, y fait beau.
Qué rossignol de mêlé-cass !
Mon joli, t’en as trop sucé,
tu grinc’s, on dirait d’eun’ charnière
ou ben d’un essieu mal graissé ! »

D’abord, est-c’ pas, j’ goualais quand même :
« Ne méprisez pas mon n’amour »
(Vous connaissez ? C’tait mon succès.)

— « Houou ! qu’a faisait la bouche en cœur,
en essayant mon coup d’ gosier,
houou… sieurs et dam’s v’là l’ remorqueur
qui fait manœuvrer sa sirène
et qui demande l’éclusier ! »