Page:Rictus - Le Cœur populaire, 1914.djvu/209

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Et toi toujours tu vis ta vie,
(avec ou sans bell’s théories),
le cul merdeux la gueul’ pourrie,
emboucanant le rat crevé,
les pieds dans des chaussett’s de suie
et l’ cœur de haine empoisonné

Ouvrier mon frère, Ouvrier.


Ben moi je te le dis dans l’ blair
en vrai Poète populaire,
pas d’autre cause à ta Misère
que ta crasse et que ton fumier,

Ouvrier mon frère, Ouvrier.